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Tryba : sa franchise clos un « bon » 1er semestre

Stéphane Vigliandi
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[Zepros Négoce] Fondée en 1984, la franchise d’origine alsacienne Tryba revendiquait déjà « plus de 300 points de vente » en France. Entre janvier et juillet dernier, 8 nouvelles concessions ont ouvert.
La marque phare du Groupe Atrya qui célèbre ses 40 ans en 2020, poursuit « son développement affiné sur le territoire » via son réseau de franchise spécialisé dans la conception, la fabrication et la pose de menuiseries extérieures. Sur les sept premiers mois de l’année, l'enseigne a tout d’abord comptabilisé cinq reprises de concessions déjà existantes à la suite, principalement, de franchisés partant à la retraite. Il annonce également huit implantations supplémentaires à :
En tout début d’année, la direction du réseau Tryba avait indiqué « renforcer son équipe de développement ». Avec l’ambition d’ouvrir 15 nouveaux magasins cette année. Finalement, ce devrait être, a priori, au moins une vingtaine de nouveaux sites en 2019. À la rentrée, un nouvel Espace Conseil s’est ainsi installé à Poitiers (86) ; tandis que le franchiseur indique être « activement » en recherche de porteurs de projet pour « s’installer dans quatre départements » en particulier. Avec, d’une part, deux nouveaux Espaces Conseil à Agen (47) et Mont-de-Marsan (40) ; d’autre part, avec quatre Carré Tryba qui seraient implantés à Aurillac (15), Cahors (46), Figeac (46) et Villeneuve-sur-Lot (47).

Optimisation de l’outil industriel

Par ailleurs, sur les 14 usines de production que détient le Groupe Atrya en France, 3 sites industriels font l’objet d’un plan de modernisation dévoilé fin 2018. Montant de l’enveloppe : un peu plus de 25 M€ alloués sur trois ans – dont 11 M€ sur le site historique de Gundershoffen, dans le Bas-Rhin ; 9 M€ sur l'unité de thermolaquage de profilés aluminium à Fougerolles, en Haute-Loire ; et plus de 5 M€ pour l’usine de menuiseries en bois dites “d’exception” (Menuiseries Thareaut rachetées en 2016) située à Saint-Laurent-du-Mottay, dans le Maine-et-Loire. L’an dernier, la holding familiale a revendiqué un chiffre d’affaires consolidé de 265 M€ HT ; une activité stable par rapport à 2017. En octobre 2018, l’industriel alsacien avait cédé sa marque Soprofen au groupe coopératif Bouyer-Leroux pour se recentrer sur son core-business ; le marché des menuiseries “Made in France” étant de plus en plus affecté par l’essor des solutions à bas coûts.
Stéphane Vigliandi
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