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Hansgrohe et Viega renoncent à ISH

Jérémy Becam
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Après Grohe il y a quelques semaines, c’est au tour de Viega et d’Hansgrohe d’annoncer qu’ils ne seront pas présents lors de l’édition 2021 du salon ISH, à Francfort. Les deux industriels mettent en avant les incertitudes sanitaires pour expliquer cette décision.

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Plus les semaines passent, plus l’incertitude plane au-dessus du salon ISH. Rendez-vous référence pour les acteurs du bain, des techniques du bâtiment, du chauffage, de la climatisation et des énergies renouvelables, cet évènement tiendra sa prochaine édition du 22 au 26 mars prochain. Malheureusement pour les organisateurs du salon, certains industriels ont annoncé qu’ils renonçaient à leur participation à ce salon. Après Grohe en juin , c’est Hansgrohe et Viega qui viennent d’annoncer leur choix de ne pas participer à l’édition 2021.

« Pour la direction de Viega, la santé et la sécurité de tous les participants au salon ISH sont des priorités absolues. La situation pandémique actuelle de la Covid-19, très changeante et difficilement prévisible, représente un risque difficilement calculable pour l’entreprise. Nous avons donc, à contrecœur, décidé d’y renoncer », explique Dirk Gellisch, membre de la direction de Viega. L’industriel ajoute que cette décision s’applique à tous les salons prévus jusqu’à l’été 2021. « Viega travaille actuellement sur des concepts pour maintenir un contact étroit avec ses partenaires commerciaux et présenter ses nouveaux produits », précise le fabricant.

Du côté d’Hansgrohe, cette décision est également liée à la situation sanitaire actuelle. « Nous n'avons pas pris la décision facile pour nous-mêmes », déclare Christophe Gourlan, directeur commercial de Hansgrohe SE, « mais la protection de la santé de nos clients et de nos collaborateurs est notre priorité absolue. À l'heure actuelle, il n'est pas possible d'estimer comment développer davantage la situation internationale de la propagation du virus. Nous le regrettons beaucoup, car un salon se nourrit de l'expérience réelle et de la détection de nouveaux produits et, en particulier, de conversations personnelles », déclare le CSO Hansgrohe, « mais cela ne peut pas être mis en œuvre dans la situation actuelle. »

Jérémy Becam
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