Et si la solution en réno’ était la chaudière à ionisation ?

Avec l’éviction annoncée des chaudières au gaz, les propriétaires et bailleurs cherchent des solutions pour remplacer les machines individuelles installées dans les appartements où il est impossible de déployer des pompes à chaleur ou des chaudières à condensation. La société Hellio met en avant une solution développée par la société Ruptura : la chaudière électrique à ionisation, une solution vantée pour être décarbonée (grâce à l’électricité du réseau français).

Mais comment fonctionne cette petite machine ? Ruptura explique : « L’ionisation est un transfert de charges électriques. Ce mouvement provoque une réaction exothermique, générant un pouvoir calorifique ». Sur ce principe, « le corps de chauffe Ruptura, en interaction avec un fluide ionisé, génère des calories dans un circuit primaire. La chaleur est transmise dans le réseau de chauffage via un échangeur à plaques hautes performances ». La chaudière développe une puissance comprise entre 1 et 25 kW et peut être montée en batterie. Économiquement, la machine affiche un COP de 1, lié à sa source électrique, et un faible coût d’entretien. Elle ne contient d’ailleurs pas de matières rares ou dangereuses, et affiche un taux de recyclabilité de 97 %. Ruptura assure que le « liquide primaire » est écologique. En fonctionnement, la chaudière à ionisation n’émet aucun gaz puisqu’il n’y a pas de combustion (ni CO, ni CO₂).

Côté professionnels, les artisans déjà RGE sont formés par l’entreprise (agréée par l’Etat) à l’étude thermique, le devis et la pose, tandis que le SAV est assuré par des techniciens agréés. Les machines Ruptura bénéficient d’une garantie de 10 ans constructeur pour le cœur de chauffe, et de 2 ans pour les autres composants. Cette chaudière électrique à ionisation est avant tout destinée au secteur du résidentiel collectif (copropriété, HLM), mais également à l’individuel, ainsi qu’au tertiaire et même à l’industriel.