Les origines d’EXIBA France : une réunion à travers le temps et l’espace !

Les réunions avec l’EXIBA Team se déroulent toutes à distance. Bien sûr, c’est une question de commodité. Mais pas seulement.

Imaginez un instant la situation. 

Le bureau du prof Benoît Bertucat de JACKODUR est près de Dijon, même si le siège de sa société est à Mundolsheim en Alsace. 

L’optimiste Matthieu Lechantre habite près de Lille, il a aussi un bureau à Clichy, mais le siège de SOPREMA est à Strasbourg, où il passe seulement 4 ou 5 jours par mois.

Le scientifique Christian Bastié travaille tous les lundis chez lui à Toulouse, mais les bureaux de RAVAGO sont à Artix dans les Pyrénées-Atlantique.

Ces sociétés ont déjà l’habitude de se réunir à distance :

« Bien avant la crise sanitaire, renchérit le Prof. En 2014, on était déjà en home office. » 

Le plus sédentaire reste le bon communicant Jean-Pierre Laherre. Les bureaux d’URSA sont à Noisy-le-Grand (93) et lui habite à Chaville dans l’Ouest parisien. .

Enfin, pour compliquer le tout, il faut aussi considérer votre serviteur. Mon rôle est celui du narrateur. Je vous raconte les missions de l’EXIBA Team. Mais moi aussi, je suis loin des autres : j’habite à Cannes !

C’est donc non seulement une question de commodité, mais aussi écologique. Notre empreinte carbone pour nous réunir physiquement serait considérable : nettement plus d’une tonne CO2e par réunion. Le cas échéant, Jean-Pierre, en bon communicant, propose de planter des arbres dans la forêt de Chantilly comme il l’a déjà fait avec son opération « Coup double pour la planète ! ».

Lors de la création d’EXIBA France en 2008, il aurait été plus compliqué de se réunir à distance. Aujourd’hui, grâce aux nouvelles technologies, c’est incontestablement la meilleure solution.

Et c’est inspirant ! Pourquoi ? 

Pour le comprendre, il faut revenir sur les origines d’EXIBA France. 

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Alors, je leur pose cette question : qui peut me raconter l’histoire de la création d’EXIBA France ? La réponse est sans équivoque « C’est Benoît ! ». Pas étonnant si on la surnomme le prof.

« EXIBA a été créé le 25 janvier 2008 dans le but de diffuser des informations relatives aux spécifications et aux qualités, notamment techniques et environnementales, des produits d’isolation à base d’XPS. On voulait communiquer ensemble pour que ces produits soient mieux connus et appréciés.

EXIBA France devenait une entité d’EXIBA Europe avec 5 industriels : Dow, Ursa, BASF, Knauf Insulation et Jackon.

Nos missions étaient entre autres d'assurer une présence technique dans les comités normatifs et de représenter la profession au CSTB.

Cela a été rendu possible, car les cinq se connaissaient déjà (ayant vécu des expériences passées en commun) et se retrouvaient bien dans la structuration de cette association. 

Depuis Knauf Insulation a quitté le bateau et Dow est devenu Ravago. Soprema est arrivé et Basf a quitté le territoire Français.

Si certains protagonistes ont changé, l’objectif reste le même : défendre l’XPS. 

Pourtant, jusqu’à maintenant,  objectivement, EXIBA France a raté sa mission principale : réussir sa communication ! »

Benoit ne mâche pas ses mots, il parle d’un échec. Mais il est provisoire, car avec l’agence digitale Tokster, on est justement là pour prendre un nouveau départ avec eux et les accompagner dans cette mission passionnante : bien communiquer sur l’XPS.

Les nouvelles technologies nous donnent les moyens de bouleverser l’organisation des réunions et du travail.  C’est le même chemin qu’il faut suivre pour communiquer. La communication doit s’adapter à la ligne éditoriale des réseaux sociaux : de l’humain, des témoignages, du backstage, du storytelling, des dialogues avec les artisans du bâtiment, parfois des confidences et de l’émotion.

Pendant notre réunion de ce lundi 12 décembre 2022, on a évoqué plusieurs sujets, pas seulement le polystyrène extrudé ! On sort de la communication d’antan. On ne se focalise pas (encore) sur les produits et leurs avantages. On met d’abord en valeur les personnes et leurs personnalités.

Benoit est dans son bureau près de Dijon. De sa fenêtre, il aperçoit la forêt. Et il en profite « pour aller courir quand j’en ai besoin. »

Matthieu est sur la route. Il s’est arrêté pour être avec nous. « Nous sommes dans la vraie vie, dans un beau pays et au contact de nos clients en magasin, dans les dépôts, chez un prescripteur professionnel ou particulier, et sur un chantier. On est là pour écouter, comprendre et adapter les argumentaires de nos produits et de nos systèmes ! »

Christian est chez lui à Toulouse dans son bureau mansardé. Ici, il trouve le calme nécessaire pour bien se concentrer sur son travail. Il nous parle aussi des vignes et de ses bouteilles de vin de Bourgogne.

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Jean-Pierre est dans son bureau. Le siège d’URSA est situé tout près d’un lieu culte à Noisy-le-Grand. Surtout, si vous êtes cinéphile. Là, à quelques encablures, le réalisateur américain Terry Gilliam a tourné des scènes de son film « Brazil » avec Robert de Niro notamment.

Et moi, pour rester dans le même thème, je suis sur une plage de la Croisette derrière le Palais des Festivals. Le soleil brille, l’horizon est dégagé et je participe à la réunion avec mon iPhone.

Là, je me dis que c’est à la fois plus relaxant et plus inspirant pour nous tous. Bien plus que si l’on était dans la classique salle de réunion sans fenêtre, face à des murs blancs et autour d’une table trop grande pour nous 5 !

Des vignes, une forêt, la mer, le cinéma et les routes de France : comment voulez-vous ne pas trouver l’inspiration ? On continue de donner un visage humain à l’XPS en France.

À bientôt dans les coulisses d’une nouvelle réunion. Peut-être même en face à face.

À suivre…