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C’est l’XPS qu’il préfère ! Interview de Jean-Pierre Laherre (Exiba)

Denis Gentile
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Jean-Pierre Laherre, le bon communicant de l'XPS

Ce n’est pas ma première interview de Jean-Pierre Laherre. Et j’espère que ça ne sera pas la dernière ! Car c’est vraiment un dirigeant qui sort de l’ordinaire. Pas étonnant que ce soit l’XPS qu’il préfère !

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Jean-Pierre, le bon communicant

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La fiche d'identité de Jean-Pierre Laherre, l'un des 4 X-Men de l'XPS
La fiche d'identité de Jean-Pierre Laherre, l'un des 4 X-Men de l'XPS

Bonjour Jean-Pierre, je vais commencer en te présentant à travers quelques compliments. Tu es une personne toujours enthousiaste, de bonne humeur, respectée et respectueuse.  Pour moi, comme je l’ai exprimé à travers nos premiers articles sur l’EXIBA Team, je te vois comme "le bon communicant", car tu es l’un des dirigeants dans le secteur du bâtiment qui communique le mieux sur les réseaux sociaux. Est-ce que tu te sens bien dans la peau de ce personnage ?

« Je le prends positivement. J’essaie de faire les choses spontanément et sérieusement, mais sans me prendre au sérieux. Je ne fais pas de la communication pour raconter des salades. Être le bon communicant, ça me va bien parce que ça signifie échanger, interagir, ne pas essayer de plaire à tout le monde et amener quelque chose de neuf, car les dirigeants qui utilisent beaucoup les réseaux sociaux ne sont pas si nombreux. On m’a parfois fait remarquer de ne pas avoir sur les réseaux sociaux le profil typique d’un dirigeant. Et en général, le feed-back est très positif. »

 

Les réseaux sociaux ? Une récréation pour moi

Justement, tu es très présent sur les réseaux sociaux. Pourquoi ?

« Je like et je commente tout ce qui me plaît, même si c’est en dehors de ma branche professionnelle. Dans nos métiers, il faut être ouvert à plein de secteurs et plein de gens. Je côtoie aussi bien des personnes dans le digital l’automobile, les start-up, etc. Et ça me donne des idées pour faire des choses dans mon domaine. J’essaie d’ouvrir mon cercle. L’important n’est pas ce que tu dis, mais ce que tu génères comme interaction. Notre « coup double pour la planète » avec URSA est né d’un échange avec le patron de « allcolibri » sur LinkedIn. 

Les réseaux sociaux, c’est pour moi une récréation. Ce n’est pas chronophage, car quand tu prends plaisir à faire quelque chose, tu le fais naturellement et sans avoir l’impression de perdre ton temps. Et je n’attends rien en retour, aucune contrepartie. »

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L'Ours POL, champion de l'XPS
Les réseaux sociaux, c’est pour moi une récréation, comme le jour où POL a disparu. Connaissez-vous cette anecdote ?

On est sur la même longueur d’onde, d’ailleurs je cite souvent ce principe : "Si tu veux qu’on s’intéresse à toi, intéresse-toi d’abord aux autres."

« Exactement Denis. C’est un état d’esprit, on ne doit pas attendre quelque chose des autres. On ne donne pas pour recevoir. »

Sur les réseaux sociaux, il y a le syndrome du  « tout le monde il est beau » comme dirait Jean Yanne. On donne trop souvent une image trop parfaite et lisse de nous-mêmes. J’aimerais éviter cela dans nos publications. Peux-tu me raconter quelque chose qui ne serait pas si extraordinaire sur Jean-Pierre Laherre ?

« Brusque, je peux parfois paraître brusque dans certaines situations professionnelles. J’ai des convictions assez fortes et je lâche difficilement prise. Alors, si je rallie les autres autour de mes idées tout va bien. Dans le cas contraire, ma ténacité peut chagriner, voire offusquer, quelques personnes. J’ai parfois tendance à exiger des autres, ce que j’exige de moi. J’essaie de corriger ça, de m’adapter aux personnes et, bien sûr, le cas échéant de réviser mes positions en étant à l’écoute et en apprenant.»

S'adapter, c'est la clé

Pour poursuivre sur ce thème, quel est l’obstacle (ou la difficulté) que tu n’as pas encore réussi ou que tu as eu du mal à surmonter ?

« Quand du jour au lendemain, on s’est retrouvé en confinement en mars 2020. J’ai dû changer mon approche et ma façon de faire pour animer mes équipes à distance. Franchement, ce fut une épreuve extrêmement énergivore. J’avais aussi l’impression de ne jamais arrêter de travailler de 7h à 23h, d’avoir toujours l’esprit en éveil. Mais aussi, il fallait tout faire pour garder tout le monde impliqué dans leur travail, interagir de façon hybride entre la visio et le réel, est-ce que mon business va bouger, etc. Ces difficultés t’obligent à innover. Là encore, il est nécessaire de s’adapter.

Il y a quelques années, j’avais rencontré l’explorateur Christian Clot. Il est notamment le fondateur de l’institut de recherche sur l’adaptation humaine. 7 mois avant la crise sanitaire, Christian a organisé pour nous une sorte de Koh-Lanta dans une forêt pendant une journée ! Il a fallu surmonter des obstacles en trouvant des solutions en équipe. Le lendemain, il nous a expliqué son approche d’explorateur sur l’adaptation humaine. »

C’était la bonne expérience au bon moment.

« Comme quoi, il n’y a pas de hasard ! »

Être là le jour J comme Mbappé

Est-ce que tu pourrais nous raconter un moment déterminant dans ton passé qui fait que tu es là aujourd’hui ?

« Ce qui m’anime, c’est le challenge. À l’école puis dans mes études, j’étais meilleur lors des concours que dans les contrôles continus. En sport, j’étais meilleur en compétition que pendant les entraînements. J’ai été champion d’Île-de-France en saut en longueur à 13 ans.

Chez URSA, j’ai trouvé cette équation entre l’évolution, améliorer nos produits et faire progresser mes équipes, et l’humain, en étant dans la proximité, l’écoute et le plaisir des échanges. » 

Jean-Pierre, tu as plein d’anecdotes à raconter et à partager. Je suis certain que cela peut inspirer beaucoup de personnes. Tu devrais donc publier tes mémoires. Qu’en dis-tu ?

« Ce n’est pas prévu, mais j’ai déjà le titre ! J’ai commencé ma carrière chez UPSA. Le titre serait donc « De UPSA à URSA ! » C’est assez étonnant, non ? En plus, URSA n’a rien à voir avec UPSA. »

Quelle est la personne que tu aimerais ou que tu aurais aimé rencontrer ?

« Pelé. C’est un champion avec des valeurs comme l’humilité, qui a réalisé des performances exceptionnelles et qui a eu un énorme impact sur les autres. 

Tiens, ça me ferait plaisir aussi de rencontrer Kylian Mbappé pour des raisons différentes. C’est un jeune qui a une maturité incroyable pour son âge, du charisme, un talent hors norme et la capacité d’être là le jour J. Quand il a marqué le deuxième but en finale, j’ai littéralement explosé. »

Le polystyrène extrudé au fond d'une grotte

Je m’aperçois qu’on arrive à la fin de cette interview et que je ne t’ai pas encore posé de questions sur l’XPS ! Est-ce que tu crois que j’ai fait un hors sujet ? L’avis du « bon communicant  » m’intéresse particulièrement sur ce point.

« Ton thème central à travers tes premiers articles, c’est les « X-men de l’isolation ». Donc, forcément tu vas t’intéresser à nos personnalités et tout ce qui est autour de nous. C’est cohérent de procéder comme ça. Tu es en plein dans le sujet. Tu continues, comme tu le fais parfaitement, à parler des hommes et des femmes du bâtiment. » 

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La mission Deep Time, l'XPS pour protéger les ordinateurs contre l’humidité de la grotte. Copyright : Martin Saumet / Human Adaptation Institute
La mission Deep Time, l'XPS pour protéger les ordinateurs contre l’humidité de la grotte. Copyright : Martin Saumet / Human Adaptation Institute

Je vais quand même tenter de me rattraper. Je pense que le rôle d’une entreprise comme la tienne est de proposer aux entreprises et aux artisans du bâtiment les meilleurs produits pour rénover et construire des infrastructures et des lieux de vie idéaux pour leurs clients. Peux-tu me citer un seul exemple qui démontre que l’XPS réussit parfaitement cette mission ?

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L'XPS, le champion de la protection contre l'humidité

« Deep Time, c’est l’exemple parfait. C’est d’ailleurs Christian Clot qui a eu l’idée et qui a organisé cette fantastique expédition. Il a passé avec 7 femmes et 7 hommes pendant 40 jours sous terre, dans la grotte de Lombrives en Ariège en 2021.

Christian a choisi l’XPS pour protéger les ordinateurs de sa mission scientifique.

Qu’y a-t-il de mieux pour démontrer l’efficacité du polystyrène extrudé ? Il n’y a rien de mieux, au fond d’une grotte à 100 % d’humidité, qu’une protection XPS. »

L'XPS comme un but à la dernière seconde !

C’est très difficile pour moi de faire une nouvelle interview de toi sans se répéter. Mais on ne peut pas passer à côté du fait que tu es vraiment un bon communicant toujours de bonne humeur. Comment peut-on terminer cette interview dans la bonne humeur ? Raconte-moi quelque chose qui va mettre tous les lecteurs de cette interview de bonne humeur.

« Lire tes interviews des gens du bâtiment Denis, ça met de bonne humeur. Je conseille vivement la lecture de tes articles. Car tu sais y mettre de l’humour, tu sais mettre de la légèreté dans des sujets sérieux. L’humour, bienveillant évidemment, instaure la bonne humeur. »

Merci Jean-Pierre.

Dans cette interview, Jean-Pierre a parlé d’adaptation, d’évolution, d’obstacles imprévus, de héros qui ont passé 40 jours dans une grotte, de l’un de ses défauts, du plaisir de communiquer sur les réseaux sociaux et à la fin seulement, il a cité un exemple pour mettre en valeur l’XPS. C’est un peu comme Mbappé qui marque le but de la victoire (ou de l’égalisation !) à la dernière seconde.

À lire les interviews des 3 autres membres d’EXIBA

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Les 4 X-Men de l'XPS, Exiba Team
Les 4 X-Men de l'XPS, Exiba Team

 

 

L’homme qui a sauvé l’XPS ! Interview de Christian Bastié

Extrait : « Une bonne isolation, ce sont des gens qui n’auront pas froid, des gens qui pourront allumer leur chauffage même avec un petit budget, des gens qui ne vivront plus dans un appartement plein de moisissures. 
C’est ce facteur humain qui manque souvent au business. C’est ce facteur humain qu’on doit choisir pour parler d’XPS. »

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Extrait : « L’artisan ne sait pas encore que le polystyrène extrudé peut lui changer sa vie ! L’artisan ne sait pas non plus qu’en utilisant ce matériau en plastique, il ne reviendra jamais sur les travaux qu’il a réalisés ».

L’XPS, c’est l’avenir ! Interview de Matthieu Lechantre

Extrait : « L'XPS a des avantages incontestables sur la récupération des produits. Mis en œuvre le plus souvent en pose libre (sans colle ou sans fixations mécaniques), le polystyrène extrudé pourra être réutilisé grâce à sa durabilité. »

Denis Gentile
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